10 films d’horreur cachés de 2024 que vous avez peut-être manqués

10 films d’horreur cachés de 2024 que vous avez peut-être manqués

Dans le domaine du cinéma d’horreur, 2024 s’est révélée être une année remplie de surprises remarquables qui auraient pu échapper à l’attention de nombreux spectateurs. Si des sorties phares comme Longlegs , The Substance et The First Omen ont certainement fait vibrer le public, de nombreuses exclusivités en streaming et des films plus petits ont offert des récits captivants dignes d’être explorés. Cette année, le genre s’est révélé avec une gamme d’histoires étranges et inhabituelles, présentant une abondance de joyaux cachés au-delà de la conscience grand public.

Parmi les films d’horreur proposés en 2024, plusieurs sont sur le point de devenir cultes à mesure que le public les découvre. Si des titres tels que I Saw the TV Glow ont suscité une attention considérable, de nombreuses autres réalisations cinématographiques sont passées sous le radar, attendant que les spectateurs découvrent leurs charmes uniques. Des suites de franchises aux créations originales, 2024 a présenté une pléthore de films d’horreur captivants qui invitent le public à s’y plonger.

10 La tête de papa (2024)

Réalisé par Benjamin Barfoot

Disponible sur la plateforme de streaming d’horreur Shudder, Daddy’s Head se distingue par une exploration poignante du deuil rappelant le film acclamé The Babadook . Ce récit troublant suit une belle-mère récemment veuve alors qu’elle navigue dans les complexités de la prise en charge de l’enfant de son défunt mari après un tragique accident de voiture. Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, une créature étrange commence à hanter leur nouvelle réalité, ajoutant des couches de tension et des éléments surnaturels.

Si Daddy’s Head aborde des thèmes familiers comme le chagrin et le désespoir, il se distingue par une photographie époustouflante et une qualité de production élevée, renforçant le poids émotionnel de son récit. Le monstre sert de métaphore à un traumatisme non résolu, faisant de cette horreur psychologique un film captivant. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une nouveauté thématique, sa narration captivante trouvera certainement un écho auprès du public.

9 Étrange chéri (2024)

Réalisé par J.T. Mollner

Produit par les cerveaux derrière Barbarian et Late Night with the Devil , Strange Darling fascine par son récit captivant de tueur en série. L’histoire, qui commence par une aventure d’un soir apparemment anodine, se déroule dans une course-poursuite effrayante du chat et de la souris sur fond d’Oregon rural. Divisé en six chapitres non linéaires, il présente un conte sombrement romantique mais édifiant sur la manipulation et la vulnérabilité.

La mise en scène de JT Mollner allie suspense et art, poursuivant son exploration des complexités de la psyché humaine. Tourné en 35 mm, Strange Darling offre des visuels à couper le souffle qui complètent ses rebondissements palpitants, faisant de ce film un film d’horreur psychologique hors du commun.

8 V/H/S/Au-delà (2024)

Réalisé par Jay Cheel, Jordan Downey, Virat Pal, Justin Martinez, Christian et Justin Long, et Kate Siegel

Le dernier volet de la célèbre série d’anthologie V/H/S, V/H/S/Beyond , présente aux fans une nouvelle gamme de courts métrages effrayants reliés par un récit plus large. Cet opus élargit le genre de l’horreur found footage, en tissant des récits qui englobent tout, des rencontres extraterrestres aux créatures hybrides bizarres.

Les différents styles narratifs de V/H/S/Beyond offrent à la fois des sensations fortes et des frissons, mettant en valeur un mélange de genres qui ne manquera pas de captiver les amateurs d’horreur. Avec le visage familier de Justin Long, qui a réalisé un segment intitulé Fur Babies , ce film perpétue la tradition de la franchise qui consiste à embrasser le bizarre.

7 J’ai vu la télé briller (2024)

Réalisé par Jane Schoenbrun

I Saw the TV Glow , réalisé par Jane Schoenbrun et coproduit par Emma Stone, est un film d’horreur psychologique profond qui capture l’essence de l’adolescence mêlée à l’influence des médias. Alors que les lycéens se lient d’amitié autour de leur obsession pour une série fictive, les frontières de la réalité commencent à s’estomper, entremêlant leurs identités aux récits qu’ils consomment.

Avec une approche visuelle innovante et un développement riche des personnages, I Saw the TV Glow combine habilement l’horreur avec une résonance émotionnelle profonde, ce qui en fait une expérience cinématographique à multiples facettes. Bien qu’il soit moins connu du grand public, son succès croissant en dit long sur sa profondeur et son lien avec les problèmes contemporains des médias et de l’identité des jeunes.

6 Abigail (2024)

Réalisé par Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett

Abigail propose une approche rafraîchissante de la mythologie des vampires, en commençant par une intrigue d’enlèvement qui prend une tournure palpitante. Au départ, un groupe de ravisseurs croit avoir capturé un enfant innocent pour obtenir une rançon, mais ils découvrent qu’Abigail possède de formidables pouvoirs surnaturels.

Ce film tient le public en haleine avec des rebondissements imprévisibles et un casting solide, mêlant humour et horreur pour créer un récit divertissant. Bien que largement éclipsé par les plus grands succès de la franchise cette année, Abigail offre de véritables frayeurs tout en incarnant le plaisir inhérent au genre.

5 Lisa Frankenstein (2024)

Réalisé par Zelda Williams

L’auteur Diablo Cody propose une nouvelle approche avec Lisa Frankenstein , une comédie d’horreur qui évolue dans le même univers que Jennifer’s Body . Ce film raconte l’histoire fantaisiste d’une adolescente qui tombe amoureuse d’un cadavre victorien réanimé, mêlant humour noir et clins d’œil nostalgiques aux tropes d’horreur des années 1980.

Avec les interprétations de Kathryn Newton et Cole Sprouse, Lisa Frankenstein embrasse le côté kitsch de son scénario tout en y intégrant des thèmes plus profonds comme le traumatisme et la résilience. Son style narratif unique et ses personnages attachants ouvrent la voie à un statut culte potentiel dans les années à venir.

4 C’est ce qu’il y a à l’intérieur (2024)

Réalisé par Greg Jardin

It’s What’s Inside est une série originale de Netflix qui invite les spectateurs dans un monde chaotique où une célébration prénuptiale apparemment innocente se transforme en terreur existentielle. Déclenchée par l’arrivée d’un ami éloigné avec un jeu mystérieux, des secrets et des rancunes enfouis font surface, transformant le rassemblement en une expérience cauchemardesque.

Ce film allie de manière unique horreur, comédie et science-fiction, et présente un récit élégamment conçu qui met au défi les personnages et le public. Son parcours inattendu en fait une entrée notable dans le domaine des comédies d’horreur contemporaines.

3 Connexion (2024)

Réalisé par Jang Jae-hyun

Dans Exhuma , le réalisateur sud-coréen Jang Jae-hyun nous présente un mélange captivant de mystère et de surnaturel. Ce film atmosphérique tourne autour de l’étrange excavation d’une tombe qui libère des énergies sombres sur une famille riche, entremêlées de révélations culturelles et historiques.

Explorant les thèmes du chamanisme et du traumatisme ancestral, Exhuma est à la fois dérangeant et captivant, captivant le public par sa narration unique. Malgré son format sous-titré, cette œuvre cinématographique intrigante mérite une chance d’être plus largement reconnue par les amateurs d’horreur.

2MadS (2024)

Réalisé par David Moreau

MadS propose une expérience palpitante qui plonge les spectateurs dans un monde ravagé par une propagation rapide de zombies. D’une durée de 86 minutes, ce récit d’horreur suit un personnage d’élite antipathique dont le style de vie imprudent dégénère rapidement en chaos alors que la société s’effondre autour de lui.

Rempli d’images viscérales, MadS exploite la peur inhérente à l’inconnu, en adoptant une approche en une seule prise qui maintient la tension palpable. Ce film encourage l’interprétation, offrant un commentaire sur la richesse et les modes de vie hédonistes des privilégiés.

1 Bizarrerie (2024)

Réalisé par Damian McCarthy

De retour avec Oddity , le réalisateur irlandais Damian McCarthy fait valoir son talent pour tisser des histoires de fantômes obsédantes. Ce film se concentre sur une femme en deuil du meurtre brutal de sa sœur jumelle, intégrant des éléments de mystère mettant en scène un médium aveugle et un mannequin en bois dans sa tapisserie.

Caractérisé par une atmosphère enchanteresse, Oddity restitue l’essence des contes de fantômes classiques, à commencer par une séquence d’ouverture captivante qui captive les spectateurs. Malgré ses modestes performances au box-office, ce joyau indépendant deviendra certainement une découverte appréciée des fans d’horreur désireux de se plonger dans de nouveaux récits.

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