10 moments emblématiques qui montrent le Docteur Doom comme la diva ultime de Marvel

10 moments emblématiques qui montrent le Docteur Doom comme la diva ultime de Marvel

Dans l’univers Marvel, peu de personnages incarnent mieux l’esprit d’une diva que le Docteur Fatalis . Une diva fait généralement référence à une personne qui dégage de l’importance et de la théâtralité, souvent au détriment des autres. Le Docteur Fatalis, avec sa personnalité grandiose et son penchant pour le dramatique, illustre parfaitement cette définition, captivant les fans avec son mélange de méchanceté et d’humour depuis son introduction en 1962 par les acclamés Stan Lee et Jack Kirby.

Vêtu de son armure emblématique, le docteur Victor Von Doom prend le moindre affront comme une attaque personnelle. Son parcours à travers l’histoire de la bande dessinée présente une multitude d’exemples qui cimentent son statut à la fois de super-vilain et de l’une des figures les plus divertissantes de Marvel. Ci-dessous, nous explorons dix moments qui mettent en valeur les traits de diva par excellence de Doom.

10.
Le Docteur Doom choisit de porter un masque pour cacher une petite cicatrice

« L’origine fantastique du Docteur Doom ! » par Stan Lee, Jack Kirby, Chic Stone et S. Rosen extrait de *Fantastic Four Annual #2*

Aucun

Les origines du masque du Docteur Fatalis sont diverses et variées. Différents auteurs lui ont donné leur propre interprétation. Au départ, il accuse Reed Richards d’une expérience catastrophique qui a mal tourné et qui a entraîné une grave défiguration. Cependant, John Byrne a redéfini ce récit dans *Fantastic Four #278*, révélant que l’explosion n’a laissé qu’une légère cicatrice sur le menton de Fatalis. Cette imperfection insignifiante, aux yeux de Fatalis, a nécessité la création d’un masque en métal spectaculaire.

Cette dramatisation s’intensifie lorsque le Docteur Fatalis, dans la précipitation, enfile le masque impitoyablement chaud et aggrave sa blessure. De telles réactions excessives manifestent l’obsession de Fatalis pour la perfection, le conduisant à souffrir plus que nécessaire – tout cela pour avoir caché un défaut mineur.

9
Le Docteur Doom est obsédé par le caviar tandis que Sue Storm l’accuse d’avoir falsifié le journal de Reed

*Les Quatre Fantastiques contre les X-Men #4* par Chris Claremont, Jon Bogdanove, Terry Kevin Austin, Glynis Oliver et Tom Orzechowski

Panneaux de bandes dessinées : Sue Storm affronte le Docteur Doom.

Dans ce récit, le journal de Reed Richards, rempli d’entrées inquiétantes sur leur voyage spatial fatidique, déclenche une crise interne au sein des Quatre Fantastiques. Lorsque Sue soupçonne le Docteur Doom d’être impliqué, il se régale de caviar avec dédain, se délectant clairement de la tourmente de Reed.

Le plaisir que Doom prend aux malheurs de son rival est une démonstration de l’attitude diva à son meilleur. Son attitude cavalière témoigne non seulement d’une certaine complaisance envers lui-même, mais aussi d’un plaisir sadique à manipuler le stress des autres pour son propre plaisir.

8
répliques égocentriques du Docteur Doom font de lui une véritable diva

*Avengers et le Gant de l’Infini #4* par Brian Clevinger, Lee Black, Brian Churilla, Terry Pallott, Sandu Florea, Michelle Madsen et Clayton Cowles

Aucun

En récupérant le Gant de l’Infini, le Docteur Fatalis se voit offrir un pouvoir incompréhensible, mais il est incroyablement incapable de le maîtriser, ce qui conduit à sa chute aux mains de Thanos. Dans cet épisode chaotique, il devient évident que ses décisions dignes d’une diva privilégient l’image de soi au détriment d’une stratégie efficace.

Doom construit des Doombots non seulement pour des raisons pratiques, mais aussi par désir de proposer de nombreuses versions de lui-même, soulignant ainsi sa grandeur et son importance personnelle.

7.
Le Docteur Doom refuse d’admettre que Reed Richards est plus intelligent que lui, même le jour du jugement

*AXE : Le Jugement dernier n°4* de Kieron Gillen, Valerio Schiti, Marte Gracia et Clayton Cowles

Panel de bande dessinée : Le Docteur Doom est jugé par The Progenitor.

Lors de l’événement *Jour du jugement* de Marvel, les personnages sont confrontés à l’examen minutieux du Progéniteur, qui culmine dans un moment humoristique mais poignant pour le Docteur Doom. Lorsqu’on lui demande de reconnaître que Reed Richards est plus intelligent, il refuse par pure fierté.

Ce moment résume parfaitement la mesquinerie implacable de Doom, mettant en valeur son incapacité à céder, même lorsque sa vie en dépend. La mentalité d’une vraie diva transparaît lorsqu’un tel refus le conduit plus près du destin.

6
Le Docteur Doom réprimande la demande d’aide de Namor parce qu’il n’est pas venu à Doom pour commencer

*New Avengers #24* par Jonathan Hickman, Valerio Schiti, Frank Martin, David Curiel et Joe Caramagna

Aucun

Dans l’arc narratif de *Cabal*, Namor, généralement indépendant, se retrouve dans une situation désespérée et se tourne vers le Docteur Doom pour obtenir de l’aide. Cependant, plutôt que de lui apporter son aide, Doom le réprimande pour ne pas avoir d’abord sollicité son aide.

Cela illustre une autre facette du comportement de diva de Doom : le besoin de reconnaissance et de validation. Son ego l’empêche de fonctionner comme un allié fiable, car il savoure l’occasion de faire en sorte que les autres se sentent petits.

5.
Le Docteur Doom défie Reed à un combat à l’épée parce qu’il veut que Reed soit son témoin

*Duel Intentions* de Dan Slott, Javier Rodriguez et Joe Caramagna extrait de *Fantastic Four #32*

Aucun

Alors que Doom se prépare à se marier, au lieu de simplement demander à Reed d’être son témoin, il le provoque en duel. Cette demande ridicule souligne son obsession pour les rapports de force et son besoin de « gagner », même dans les situations personnelles.

Le désir de Doom de forcer Reed à se conformer résume son approche des relations : un mélange de rivalité et de domination qui correspond indéniablement à sa personnalité de diva.

4
Le Docteur Doom détruit un univers parce qu’on lui dit que son armure est moche

*Doctor Doom #10* de Christopher Cantwell, Salvador Larroca, Guru Efx et Cory Petit

Aucun

Confronté à une version alternative de lui-même, apparemment supérieure, la vanité de Doom est blessée lorsque cette version critique son armure. Dans un accès de rage, il anéantit l’univers entier juste pour affirmer sa domination.

Cela montre comment son besoin de validation le pousse à des extrêmes catastrophiques, renforçant l’idée que Doom est bel et bien une diva, avec un flair pour l’ostentatoire et le désastreux.

3
Le Docteur Doom transforme Johnny Storm en une véritable torche humaine

*Les Quatre Fantastiques #34* par Dan Slott, RB Silva, Jesus Aburtov et Joe Caramagna

Aucun

Lors de son mariage, la colère de Doom déborde lorsqu’il découvre l’histoire d’amour passée de Johnny Storm avec sa fiancée. En guise de punition, Doom utilise un appareil pour infliger une transformation fulgurante à Johnny, une illustration claire de ses tendances excessives en matière de représailles.

Cet acte est ouvertement dramatique et met en évidence la tendance de Doom à aggraver les conflits de manière spectaculairement mesquine.

2
Le Docteur Doom refuse de payer Luke Cage après l’avoir embauché

*Héros à louer #8* de Steve Englehart, George Tuska, Billy Graham, John Costanza et Andrea Hunt

Aucun

Après avoir engagé Luke Cage pour une mission, les tendances diva du Docteur Doom réapparaissent lorsqu’il entraîne Cage dans une situation mortelle pour éviter de payer. Plutôt que de remplir ses obligations financières, le comportement de Doom met en évidence son manque de responsabilité, une caractéristique caractéristique d’une diva.

Ce scénario plutôt absurde illustre jusqu’où Doom est prêt à aller pour maintenir sa fierté et éviter toute responsabilité, renforçant ainsi son statut d’antagoniste mémorable.

1
Le Docteur Doom aide à mettre au monde l’enfant de Reed et Sue… contre rémunération

*Les Quatre Fantastiques #54* de Carlos Pacheco, Rafael Marin, Karl Kesel, Mark Bagley, Scott Koblish, Al Vey, Liquid! et Richard Starkings

Aucun

Lorsque l’enfant de Reed et Sue rencontre des complications à la naissance, le Docteur Fatalis intervient, mais seulement sous certaines conditions : il exige d’être nommé parrain. Cette manipulation montre non seulement son sens dramatique, mais aussi sa propension à utiliser la vulnérabilité pour affirmer son contrôle.

En nommant l’enfant Valeria, il cherche à rappeler continuellement à Reed sa dépendance à l’égard de l’expertise de Doom – un exemple parfait du mélange de ruse et de mesquinerie calculée du méchant.

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