10 cas où l’humour de Far Side a transformé notre vision des animaux

10 cas où l’humour de Far Side a transformé notre vision des animaux

The Far Side est largement considéré comme l’une des bandes dessinées les plus hilarantes jamais créées, et son charme durable peut être attribué à son approche distinctive. Contrairement aux bandes dessinées plus traditionnelles comme Garfield ou Calvin et Hobbes , The Far Side ne se concentre pas sur un seul protagoniste. Au lieu de cela, il met en scène un éventail de personnages récurrents, chaque bande dessinée étant conçue autour de sa chute unique et souvent absurde. Cette individualité permet à la bande dessinée d’explorer une variété de thèmes et de scénarios, des interprétations fantaisistes de la vie quotidienne aux interprétations surréalistes impliquant des extraterrestres, des bébés et des animaux anthropomorphes.

Parmi ses nombreuses révélations comiques, The Far Side a le don de dépeindre les animaux sous un jour humoristique, renversant souvent les perspectives conventionnelles à leur égard. La bande dessinée met fréquemment les animaux en scène et les utilise dans des scénarios qui défient les attentes des spectateurs. Voici dix des bandes dessinées les plus drôles de The Far Side qui ont sans aucun doute transformé la perception des animaux par les lecteurs.

10. The Far Side révèle que les vaches sont secrètement jalouses des humains (pour une raison surprenante)

Une vache fait griller des hamburgers dans The Far Side.

Cette bande dessinée met en scène une vache en train de griller des hamburgers, au grand dam de ses congénères bovins. La chute de l’histoire repose sur l’ironie sinistre du fait que les hamburgers, faits à partir de bœuf haché, sont en réalité de la viande de vache. Cette absurdité visuelle présente une vache se livrant au cannibalisme, ce qui met le public au défi de rire tout en reconnaissant la nature troublante de la situation.

Par ce détournement humoristique, la bande dessinée suggère que les vaches pourraient éprouver de la jalousie envers les humains qui se livrent à de telles gourmandises. Si la plupart des vaches ne lieraient pas leur identité à des préférences culinaires, la tentative malavisée de cette vache de se comporter comme une humaine est source de rire et de réflexion.

9. La version hilarante de « Wolf in Sheep’s Clothing » de The Far Side

Des loups portant des costumes de moutons dans The Far Side.

Dans cette interprétation astucieuse de l’idiome, un loup enfile un costume de mouton au milieu d’un troupeau de sa propre espèce, pour découvrir qu’il n’y a pas de moutons présents, mais seulement d’autres loups se faisant passer pour des moutons. Le retournement de situation souligne avec humour l’absurdité de la situation et révèle la folie du plan du loup.

Cette bande dessinée reflète la réalité de la tromperie dans le règne animal et rappelle que parfois, les plans les plus astucieux peuvent se dénouer de la manière la plus ironique.

8. The Far Side présente le cerf le plus malchanceux du monde

Un cerf avec une cible sur sa poitrine dans The Far Side.

Perchés au milieu d’une forêt sereine, deux cerfs discutent, mais l’un d’eux se distingue par une cible peinte sur sa poitrine. L’un des cerfs remarque : « Quelle tache de naissance, Hal », ce qui illustre à quel point la vie de Hal en tant que cerf comporte déjà des dangers inhérents, exacerbés par cette marque flagrante.

Cette bande dessinée offre un commentaire évocateur sur la fragilité de la vie dans la nature et sur la façon dont même des détails mineurs peuvent affecter considérablement la survie.

7. The Far Side révèle le côté obscur du poisson rouge

Deux poissons rouges attrapent leur propriétaire dans un piège dans The Far Side.

Dans un étrange retournement de situation, deux poissons rouges dans leur bocal semblent avoir déjoué les plans de leur propriétaire, qui est pris au piège par le poisson. L’un des poissons s’exclame joyeusement : « Ça a marché ! », jetant ainsi un nouvel éclairage sur leur apparence apparemment bénigne.

Cette représentation surréaliste incite les lecteurs à reconsidérer la domesticité des poissons rouges de compagnie, illustrant qu’ils pourraient abriter des ambitions secrètes sous la surface.

6. Une taupe est le coupable improbable de la chute de l’humanité dans The Far Side

Adam et Eve dans The Far Side.

Cette bande dessinée reprend de manière ridicule le récit biblique d’Adam et Ève, suggérant qu’une taupe avec un penchant pour les enregistrements audio serait la véritable instigatrice de leur décision fatidique de manger du fruit de l’arbre de la connaissance. Plutôt que de devenir la proie d’un serpent, la mort d’Adam et Ève est attribuée avec humour au désir d’une taupe d’éviter les pièges que leur tendait le couple.

Cette interprétation débat avec intelligence des notions de méchanceté et met en évidence comment même les créatures les plus simples peuvent influencer des événements profonds.

5. Les rennes du Père Noël subissent une pression inattendue dans The Far Side

Le Père Noël avec ses rennes dans The Far Side.

Dans une bande dessinée se déroulant dans l’atelier du Père Noël, Saint-Nicolas exprime ses frustrations à ses rennes, supposant qu’ils pourraient être ingrats pour leur vie joyeuse. Avec une exigence frappante, il menace de manière effrayante : « Du chevreuil ». Cette version sombre de la joie des fêtes expose le côté obscur du pôle Nord.

Révélant la pression sous laquelle ces créatures magiques opèrent, cette bande dessinée force les lecteurs à réfléchir à la réalité derrière la façade joyeuse de la mission annuelle de distribution de cadeaux du Père Noël.

4. Les ours polaires montrent leur ruse dans The Far Side

Un ours polaire déguisé en pingouin dans The Far Side.

Un groupe de pingouins enquêtant sur des disparitions mystérieuses parmi leurs rangs accueille sans le savoir un ours polaire déguisé en pingouin, un costume qui ne semble pas très convaincant. L’humour réside dans l’oubli des pingouins, qui acceptent l’ours parmi eux, offrant un commentaire hilarant sur la perception et la tromperie animales.

Cette bande dessinée illustre brillamment les efforts absurdes auxquels les prédateurs sont prêts à recourir pour échapper à la détection et ajoute une couche d’humour à travers la naïveté des pingouins.

3. Les canards sont étonnamment menaçants dans The Far Side

Un canard observant un homme depuis un autre bâtiment dans The Far Side.

Un homme en proie à l’anxiété se retrouve observé de près par un canard de l’autre côté de la rue, ce qui déclenche chez lui une peur irrationnelle de l’anatidaephobie, la crainte qu’un canard ne l’observe en permanence. Bien que cette phobie soit inventée pour créer un effet comique, ses implications poussent les spectateurs à reconsidérer leur perception des créatures bénignes.

L’absurdité sous-jacente de l’anthropomorphisme injecte une nouvelle perspective sur la vie quotidienne tout en exagérant de manière hilarante les peurs liées aux animaux ordinaires.

2. Les grizzlis affichent leur côté macabre dans The Far Side

Des ours utilisent des squelettes humains comme marionnettes dans The Far Side.

Une mère grizzly raconte à ses petits l’histoire d’humains sans méfiance qui se sont aventurés dans sa grotte, utilisant leurs restes comme marionnettes dans une séance de narration au ton sombre et comique. Cette image surréaliste fait habilement allusion aux dangers de la nature sauvage et à la menace omniprésente que représentent les ours.

Cette bande dessinée assombrit les sentiments chaleureux et flous typiques qui entourent la dynamique familiale des animaux, présentant les dures réalités auxquelles ils sont confrontés.

1. Les chiens ne sont pas aussi attachants que les gens le croient dans The Far Side

Un scientifique utilise un appareil pour comprendre ce que disent les chiens dans The Far Side.

Un scientifique équipé d’un appareil révolutionnaire prétend comprendre les communications canines, mais découvre que les chiens répètent en fait « Hé ! » Cette révélation anticlimatique souligne avec humour l’écart entre nos attentes concernant l’intelligence animale et la réalité.

L’ironie présentée dans cette bande dessinée encourage à réfléchir sur nos hypothèses concernant la communication entre les espèces et met en évidence la nature souvent simpliste de l’expression animale.

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