10 cas où Flash a montré son côté sombre au-delà de ce que DC Comics reconnaît

10 cas où Flash a montré son côté sombre au-delà de ce que DC Comics reconnaît

Flash , célébré comme l’un des héros emblématiques de DC aux côtés de légendes telles que Superman et Wonder Woman, cache un aspect plus sombre qui passe souvent inaperçu. Malgré son attitude enjouée, sous la surface se cache une rage intense et bouillonnante. Lorsque cette fureur fait surface, il peut adopter un comportement étonnamment sinistre, le mettant à égalité avec certains de ses adversaires les plus néfastes.

Tout au long de la vaste trame narrative de DC, plusieurs individus ont endossé le rôle de Flash, chacun d’entre eux ayant vécu des moments d’obscurité intérieure. Que ce soit lors d’une bataille intense contre un ennemi ou d’un désaccord houleux avec un coéquipier qui dégénère, l’homme le plus rapide du monde peut basculer de manière surprenante vers un territoire moralement discutable. Cette réalité rappelle que la Justice League devrait être reconnaissante de l’avoir à ses côtés, du moins pour l’instant. Voici 10 moments inoubliables qui illustrent à quel point le Scarlet Speedster peut être tordu, même au milieu de ses exploits héroïques.

10
« Je suis si rapide. Assez rapide pour revenir en arrière et effacer tout ce qui s’est passé. Pour t’effacer. »

Justice League #42 de Robert Venditti et Aaron Lopresti

Justice League 42 Flash dit à Eradicator qu'il peut courir assez vite pour remonter le temps et l'effacer de l'existence

Cette réplique frappante est prononcée lors d’une bataille intense avec l’Eradicator, où Barry doit attirer ce redoutable adversaire dans le portail magique de Madame Xanadu. Alors qu’il se prépare, il déclare sa capacité à effacer l’Eradicator de l’existence. Cette déclaration n’est pas une simple vantardise ; Barry Allen a déjà modifié la structure de l’univers DC à travers Flashpoint, prouvant qu’il possède le pouvoir de redéfinir la réalité. Son utilisation de cette formidable capacité laisse entrevoir des tendances manipulatrices, soulevant des questions sur la fine frontière entre l’héroïsme et la méchanceté.

9
« Tu sais ce qui arrive quand je fais vibrer ma main à travers des objets, McCulloch ? Ils explosent. »

Flash #167 de Geoff Johns et Angel Unzueta

Flash 167 Flash pense que Mirror Master a blessé Linda et menace de lui faire vibrer la main dans la tête

Flash se targue de sa supériorité morale sur les criminels. Cependant, il arrive que ses méthodes imitent étrangement celles de ses ennemis, créant ainsi une zone grise morale. Cela est particulièrement évident lorsque Wally West, soupçonnant Mirror Master d’avoir blessé sa femme, Linda Park-West, fait vibrer son poing de manière menaçante près de la tête de son adversaire. Sa rhétorique menaçante fait écho aux tactiques mortelles de Reverse-Flash, révélant un côté plus sombre qui se cache en lui.

8
« Tu es une bête écrasée ! »

Infinite Crisis #7 de Geoff Johns, George Pérez, Ivan Reis, Joe Bennett et Phil Jimenez

Infinite Crisis 7 Bart Allen Flash combat Superboy-Prime et l'appelle roadkill

Bart Allen, connu sous le nom d’Impulse, n’a peut-être pas conservé le titre de Flash très longtemps, mais il a eu un impact significatif à son époque. Dans les batailles décisives d’Infinite Crisis, sa fureur contre Superboy-Prime est palpable alors qu’il le considère avec colère comme un « accident mortel ». Cette explosion de violence souligne les dommages collatéraux potentiels inhérents à l’immense vitesse de Flash, suggérant que dans le feu de la bataille, n’importe qui sur son chemin pourrait facilement devenir une victime.

7
Si tu ne cours pas avec moi maintenant, je ferai en sorte que tu ne coures plus jamais !

Flash #48 de Joshua Williamson et Howard Porter

The Flash 48 Wally insiste pour que Barry l'aide à récupérer ses enfants ou il s'assurera de ne plus jamais courir

Le côté sombre de Flash se manifeste non seulement contre ses ennemis, mais aussi contre ses alliés. Au cours de l’histoire de Flash War, Wally West, trompé par Zoom, menace Barry Allen de lui retirer sa vitesse s’il ne l’aide pas à récupérer ses enfants. Cet ultimatum sinistre met en évidence un égoïsme qui révèle une volonté alarmante d’abandonner leur lien pour un gain personnel.

6
« Certaines personnes ont besoin de mourir. »

Flash #219 de Geoff Johns et Justiniano

Flash Wonder Woman tue les méchants

Flash est souvent caractérisé par son empathie, cherchant à racheter même ses adversaires les plus notoires. Cependant, il admet parfois que tous les méchants ne méritent pas une seconde chance. Cet aveu troublant à l’égard de Wonder Woman porte atteinte à son image héroïque et suggère que même les héros peuvent abriter des idéologies mortelles.

5
« Je pourrais te frapper cent fois avant que tu ne puisses lancer un seul coup de poing. »

Flash #65 de Joshua Williamson et Rafa Sandoval

The Flash 65 Barry menace Batman en disant qu'il pourrait le frapper une centaine de fois avant même de pouvoir porter un seul coup

Généralement calme, Barry Allen n’est pas enclin aux accès de violence ; cependant, même sa patience a des limites. Lorsqu’il est provoqué par les railleries de Batman sur le fait d’oublier Wally, un sujet sensible en raison des tragédies récentes, Barry relève un défi troublant. Sa menace de déclencher une salve de coups de poing incarne le potentiel latent de violence de Flash, servant de rappel brutal de son pouvoir.

4
« Tout ce que je veux entendre de toi, c’est un cri et le bruit d’os qui se brisent. »

Flash #243 de Tom Peyer et Freddie E. Williams II

The Flash 243 Wally et Jai attaquent Gorilla Grodd après qu'il ait tué Irey

Chaque version de Flash incarne l’idée que lorsque la famille est menacée, tous les paris sont ouverts. La confrontation de Wally West avec Gorilla Grodd démontre ce principe lorsqu’il assiste au destin tragique de sa fille. Son agressivité s’intensifie jusqu’à une férocité qui souligne les limites auxquelles il est prêt à aller lorsqu’il est provoqué, mettant en valeur un côté brutal qui n’émerge que dans des circonstances extrêmes.

3
« Tu crois savoir de quoi je suis capable ? Tu n’en as aucune idée. »

Knight Terrors : The Flash #2 par Alex Paknadel, Tom Derenick et Daniel Bayliss

Knight Terrors The Flash 2 Barry Allen, sous sa forme cauchemardesque, force sa main dans la poitrine de Reverse-Flash et le tue

Dans une confrontation psychologique obsédante, Barry Allen rencontre son propre personnage monstrueux dans la série Knight Terrors. Accablé par le chagrin et la perte, il met en œuvre sa vengeance sur Reverse-Flash dans une démonstration de brutalité stupéfiante. Bien que se déroulant dans un rêve, ce moment soulève une idée troublante sur la capacité de Barry à la violence, suggérant une menace toujours imminente s’il devait canaliser ses émotions extrêmes en actions.

2
« Je l’ai immobilisé. De façon permanente. »

Flash #1 de Mark Waid, Joe Bennett, Ian Churchill, Manuel Garcia, Karl Kerschl et Daniel Acuña

All Flash Wally immobilise Inertia, il est donc obligé de regarder la statue d'Impulse pour l'éternité

Flash fait preuve de retenue, mais il dépasse les bornes lorsqu’il est provoqué. Lorsque Wally West découvre qu’Inertia a orchestré la mort de Bart, sa colère révèle un côté sombre et vindicatif. Plutôt que de lui porter un coup mortel, il condamne Inertia à l’immobilité éternelle, le forçant à faire face aux conséquences de ses actes contre son ancien allié. Une telle punition révèle un côté cruel de Flash rarement vu, suggérant une capacité de vengeance qui peut rivaliser avec celle d’un méchant.

1
« Je veux que tu saches que tu m’as touché parce que je t’ai laissé me toucher. »

Flash #217 de Geoff Johns et Howard Porter

The Flash 217 Batman pose la main sur Flash et il dit à Batman qu'il l'a seulement touché parce qu'il l'a laissé faire

Les pouvoirs de Flash lui confèrent un avantage indéniable sur les héros non dotés de super-pouvoirs comme Batman, créant une dynamique dans laquelle il peut facilement contrôler les rencontres. En affirmant que le contact de Batman était autorisé, il souligne l’énorme différence entre leurs capacités, faisant allusion à sa domination sur la Justice League. Ce moment sert de rappel brutal du déséquilibre des pouvoirs et des conséquences potentielles s’il décide de maîtriser ses pulsions les plus sombres.

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