10 cas où le Joker a retrouvé la raison de manière surprenante

10 cas où le Joker a retrouvé la raison de manière surprenante

Le Joker est une figure emblématique du monde des méchants de bande dessinée, surpassant son héritage au sein de Batman et de l’univers DC pour devenir un personnage légendaire de l’histoire de la bande dessinée. Réputé pour son intelligence, sa ruse et sa cruauté, le Joker incarne un mélange chaotique de folie. Sa nature imprévisible donne lieu à diverses représentations ; à un moment, il peut être dépeint comme un tueur en série psychopathe, tandis qu’à d’autres moments, il prend l’apparence d’un farceur espiègle. Pourtant, à travers chaque itération, un fait reste constant : le Joker n’est jamais vraiment sain d’esprit, sauf dans des moments curieux où il semble l’être.

Ce qui rend le personnage du Joker particulièrement fascinant, c’est la fluctuation de son état mental. Dans plusieurs arcs du vaste multivers de DC, il y a des cas où le Joker connaît des moments de raison, révélant l’ironie de son personnage. Ses moments de rationalité apparaissent souvent plus troublants que sa folie typique, dépeignant une complexité qui intrigue à la fois les fans et les critiques. Ci-dessous, nous explorons les dix cas les plus captivants où le Joker a temporairement retrouvé un semblant de raison.

10 Le Joker redevient sain d’esprit après avoir plongé dans la fosse de Lazare

Batman : La Légende du Chevalier Noir #145 par Chuck Dixon et Jim Aparo

Le Joker nageant dans la fosse de Lazare.

Le puits de Lazare, une ancienne source mystique, est réputé pour ses propriétés vivifiantes, permettant aux individus de retrouver la jeunesse ou de revenir de la mort, même si cela se fait au prix de leur santé mentale. Il est intéressant de noter que lorsque le Joker rencontre cette eau mystique, c’est l’inverse qui se produit. Après avoir connu la mort, son plongeon dans le puits le revitalise, lui accordant la santé mentale au lieu de la folie, soulignant ainsi à quel point il était vraiment loin du gouffre.

9. Le Joker devient un homme politique sain d’esprit nommé Jack Napier

Batman : Le Chevalier Blanc de Sean Murphy

Le Joker dans le rôle de Jack Napier debout aux côtés de Harley Quinn.

Dans un retournement de situation remarquable, le Joker parvient à déjouer Batman en retrouvant la raison grâce à des soins psychiatriques et à des médicaments antipsychotiques. En se transformant en Jack Napier, il capitalise habilement sur sa nouvelle identité pour saper la réputation de Batman et se présente comme le « Chevalier blanc » de Gotham. Son succès dans ce rôle démontre à quel point un Joker parfaitement sain d’esprit peut être dangereux, utilisant efficacement son intelligence pour manipuler le paysage politique de Gotham.

8 Une version future du Joker est en fait le chef de la police de Gotham City

Batman #59 de Bill Finger et Lew Sayre Schwartz

Batman et Robin rencontrent le Joker du futur.

Dans un scénario de l’Âge d’argent, Batman et Robin tentent de voyager dans le temps, dans le but de comprendre les racines de la folie du Joker à travers un ancêtre. Cependant, une erreur de calcul les amène en 2050, où ils rencontrent un descendant du Joker, qui est étrangement le chef de la police de la ville et tout à fait sain d’esprit. Ce récit présente une perspective unique du Joker, indiquant que sa lignée pourrait conduire à des rôles sociaux positifs plutôt qu’à la méchanceté.

7. Martian Manhunter manipule l’esprit du Joker, le forçant à devenir sain d’esprit

JLA #15 de Grant Morrison, Howard Porter, Gary Frank et Greg Land

Martian Manhunter manipule l'esprit du Joker pour le rendre sain d'esprit.

Dans un retournement de situation inattendu, le Martian Manhunter intervient à un moment critique où le Joker est sur le point de déclencher le chaos avec un artefact cosmique. En manipulant l’esprit du Joker, il rétablit par inadvertance la raison du Joker, l’incitant à rectifier les ravages qu’il a presque créés. Ce moment met non seulement en valeur le potentiel héroïque du Joker, mais souligne également l’interaction complexe entre la raison et la méchanceté.

6 Une variante du Joker est le Batman de son univers

Outsiders Vol. 5 #3 de Jackson Lanzing, Collin Kelly et Robert Carey

Une version du Joker qui est Batman.

Dans un multivers alternatif, une version du Joker endosse le rôle de Batman, prouvant que même les méchants les plus célèbres peuvent incarner l’héroïsme. Cette illustration du Joker en tant que véritable protecteur, bien que dans un contexte très différent, soulève des questions sur la moralité et l’identité au sein du genre des super-héros.

5 Le Joker devient un leader communautaire dans un désert post-apocalyptique

Superman : Les feux lointains de Howard Chaykin et Gil Kane

Le Joker en tant que leader communautaire dans un désert post-apocalyptique.

Dans un développement choquant, le Joker transcende son passé malveillant pour devenir un leader communautaire ingénieux au lendemain d’une dévastation nucléaire. Le chaos qui le définissait initialement cède la place à la clarté et à la détermination, lui permettant d’assembler innovation et progrès dans un monde inhospitalier, réimaginant ainsi son héritage.

4 Le Joker devient Robin de Batman dans un futur tordu

Batman : Le dernier chevalier sur Terre de Scott Snyder et Greg Capullo

Le Joker dans le rôle de Robin dans un futur post-apocalyptique.

Dans un futur dystopique, un clone de Bruce Wayne voyage avec la tête coupée du Joker, désormais ressuscité dans un corps robotique et fonctionnant comme Robin. Bien que la santé mentale du Joker reste fragile, son rôle a un impact significatif sur le résultat, démontrant que même un personnage complexe comme le Joker peut contribuer positivement lorsque les enjeux sont élevés.

3. L’esprit du Joker est autorisé à guérir une fois que Batman est mort

Batman : La Légende du Chevalier Noir #65 par JM DeMatteis et Joe Station

Le Joker abandonne sa vie de criminel lorsqu'il pense que Batman est mort.

Après une confrontation dramatique qui a entraîné la mort présumée de Batman, le Joker est aux prises avec une crise d’identité. Libéré de son principal adversaire, il subit une opération de chirurgie reconstructive et embrasse temporairement une vie normale, révélant à quel point sa santé mentale est étroitement liée à sa rivalité avec Batman. Cependant, cette paix est de courte durée lors du retour de Batman.

2 DC révèle que le Joker n’était qu’Alfred tout le temps (et n’a jamais été fou)

Batman #686 de Neil Gaiman et Andy Kubert

Le Joker est secrètement Alfred avec du maquillage et une perruque.

Dans un incroyable retournement de situation, il est révélé que le Joker n’est qu’un personnage joué par Alfred, destiné à divertir Bruce Wayne. Selon ce récit, la folie du Joker était une façade conçue par Alfred pour apporter de la joie à Bruce dans ses moments les plus sombres, mettant en valeur l’interaction fantaisiste de la réalité au sein du mythe de Batman.

1 Darkseid transforme le Joker en l’homme le plus sain d’esprit sur Terre

Action Comics #1062 par Jason Aaron et John Timms

Le Joker, la personne la plus saine d'esprit sur Terre.

Dans un étrange coup du sort, le Joker devient l’individu le plus sain d’esprit de la planète après qu’un sort lancé par Bizarro a exacerbé la folie qui l’entoure. Cette transformation le conduit à s’associer à Superman, incarnant un moment rare où l’intellect du Joker est utilisé pour le bien commun, soulignant encore davantage le paradoxe de son personnage.

La multitude de moments de lucidité du Joker souligne un aspect fascinant de son personnage : les moments de folie donnent souvent lieu à un regain de rationalité. Qu’il soit considéré comme une force chaotique ou un sauveur pervers, le Joker nous rappelle la relation complexe entre l’héroïsme et la méchanceté dans le récit des bandes dessinées.

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