À la découverte du premier film d’Anna Kendrick en tant que réalisatrice : « Woman of the Hour »
Dans son premier film très attendu, Woman of the Hour , Anna Kendrick s’attaque à l’histoire vraie et effrayante d’un tueur en série qui a participé à un jeu télévisé rappelant The Dating Game pendant sa vague de violence. Ce postulat frappant sert de plate-forme à un examen plus approfondi de questions telles que le sexisme et la violence sociétale envers les femmes.
Aperçu des personnages et orientation narrative
Dans le film, Tony Hale incarne Ed Burke, une version réinventée de Jim Lange, le présentateur de l’émission The Dating Game. Hale explique son rôle en déclarant : « J’étais un peu plus représentatif de la culture de l’époque. » Les interactions de son personnage avec les candidates mettent en lumière une réalité dérangeante : « Hors caméra, le traitement de ces femmes était déshumanisant, et il est choquant de voir comment cette acceptation culturelle s’est infiltrée dans la dynamique à l’écran. »
Mettre en lumière les victimes
L’acteur Daniel Zovatto , qui interprète le rôle du célèbre tueur Rodney Alcala, souligne l’engagement du film à honorer ses victimes. Zovatto note que l’accent mis sur la vie des victimes avant la tragédie l’a attiré vers le projet, déclarant : « Je pense qu’il est important de passer du temps avec les victimes et de vraiment comprendre toute l’histoire. » Il pense que le point de vue féminin de Kendrick est essentiel pour transmettre ce récit, ce qui en fait une entrée distinctive dans le genre du true crime.
Perspectives uniques de la part des actrices
L’ensemble féminin du film offre un aperçu riche de leurs personnages et de l’approche narrative de Kendrick. Kathryn Gallagher joue Charlie, une version fictive de la victime réelle Cornelia Crilley, qui a été victime de la brutalité d’Alcala. Gallagher a exprimé sa surprise devant le point de vue unique du film, reconnaissant la désensibilisation courante envers les récits de crimes réels. « C’est une histoire puissante racontée du point de vue de femmes dont l’avenir brillant a été volé », affirme-t-elle.
Nicolette Robinson incarne Laura, un personnage qui reconnaît Alcala grâce à son amie, et Autumn Best incarne Amy, une survivante fictive. Robinson réfléchit à l’importance de l’instinct dans la sécurité des femmes, en soulignant : « En tant que femmes, nous sommes souvent conditionnées à réprimer notre instinct par politesse. » Son expérience dans le film a renforcé sa conscience de la sécurité personnelle dans les situations de la vie quotidienne.
Comprendre la vulnérabilité
Best met en évidence les idées fausses qui entourent les victimes de violence, soulignant que la vulnérabilité n’est pas liée à l’intelligence ou à la force. « Amy est décrite comme intelligente, mais l’absence d’un solide réseau de soutien la conduit dans des situations périlleuses. » Cette déclaration attire l’attention sur les réalités complexes auxquelles de nombreuses personnes sont confrontées lorsqu’elles sont confrontées à des situations dangereuses.
Regardez les interviews et découvrez-en plus
Pour approfondir le sujet de Woman of the Hour et entendre les acteurs parler de leurs expériences, les téléspectateurs peuvent accéder à une série d’entretiens perspicaces sur la chaîne YouTube TMS .
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