Les gestes liés à la drogue de G-Dragon sous surveillance : voici la déclaration de l’avocat sur le lien présumé

Les gestes liés à la drogue de G-Dragon sous surveillance : voici la déclaration de l’avocat sur le lien présumé

La controverse autour de la prétendue consommation de drogue de G-Dragon a pris une nouvelle tournure, avec l’intervention d’un avocat spécialisé dans les affaires de drogue, soulignant qu’il n’existe aucune preuve définitive liant les gestes de l’icône de la K-pop à la consommation de drogue.

Lisez la suite pour en savoir plus.

L’affaire de drogue de G-Dragon analysée par l’avocat Kim Hee Junon dans « YTN News Rider »

Le 7 novembre, l’avocat Kim Hee Jun, connu pour son expertise dans les affaires liées à la drogue, a fait une apparition sur « YTN News Rider » pour discuter de l’affaire G-Dragon en cours.

L’artiste avait déjà été interrogé par la police pour suspicion de consommation de drogue, mais un test de dépistage préliminaire s’était révélé négatif.

BIGBANG G-Dragon
(Photo : Arbre Wiki)

L’avocat Kim a adopté une position ferme, arguant que les gestes uniques de G-Dragon ne devraient pas être automatiquement associés à la consommation de drogue, déclarant : « Nous ne pouvons pas considérer ces gestes comme des signes anormaux lors de la consommation de drogues. »

La discussion a porté sur divers aspects de l’affaire, notamment les spéculations concernant les changements de couleur des cheveux.

Interrogé sur la difficulté de détecter les drogues si quelqu’un se teint ou se décolore les cheveux, l’avocat Kim a dissipé les idées fausses en déclarant :

« Il semble y avoir beaucoup de malentendus à ce sujet. Même si quelqu’un se teint ou se décolore les cheveux, cela ne rend pas le dépistage des drogues impossible. De nos jours, grâce à des techniques de test avancées, il est possible de confirmer la consommation de drogues même après une teinture ou une décoloration des cheveux.

BIGBANG G-Dragon
(Photo : Arbre Wiki)

Abordant le problème du fait que G-Dragon n’a pas volontairement soumis son téléphone portable à une enquête, l’avocat Kim a fait la lumière sur la question en déclarant :

« Selon les médias, un mandat de télécommunication a été demandé pour obtenir des enregistrements d’appels. Cependant, le tribunal a rejeté le mandat, ce qui est assez inhabituel.

Habituellement, ces mandats sont presque toujours approuvés. Mais même si cela n’a pas été accordé faute de preuves suffisantes, cela soulève une certaine ambiguïté quant à la spécificité et à la crédibilité de la situation.»

Affaire G-Dragon : l’avocat Kim se prononce sur l’interprétation du comportement et des gestes

La conversation a ensuite porté sur le comportement de G-Dragon lors de sa récente visite au commissariat.

BIGBANG G-Dragon
(Photo : Arbre Wiki)

Interrogé sur ses mouvements fréquents et ses sourires narquois lors de ses interactions avec les journalistes, l’avocat Kim a expliqué :

« Nous ne pouvons pas conclure avec certitude si la consommation de drogues est indiquée uniquement sur la base d’un tel comportement, car ces gestes peuvent être propres à l’individu.

Il est donc difficile de déterminer la consommation de drogues uniquement sur la base des paroles prononcées ou des gestes manifestés. Les toxicomanes n’affichent pas nécessairement un langage corporel unique.

BIGBANG G-Dragon
(Photo : Arbre Wiki)

Il a ensuite développé les nuances des effets des médicaments, en déclarant :

« Lorsqu’il s’agit de types de drogues, il existe deux grandes catégories : les « stimulants » et les « déprimants ». Si une personne consomme des drogues « downer », elle peut devenir léthargique et endormie, tandis que les drogues « upper » peuvent avoir l’effet inverse.

Ainsi, la réaction peut varier selon le type de médicament consommé. Il serait difficile de qualifier de tels gestes et comportements de signes de consommation de drogue.

Les idées de l’avocat Kim apportent une perspective unique sur l’affaire, soulignant la complexité de l’interprétation du comportement et des gestes comme preuve concluante de la consommation de drogue.

Alors que l’enquête se poursuit, cette opinion d’expert ajoute une couche de complexité au débat en cours autour de l’implication présumée de G-Dragon dans des activités liées à la drogue.

Restez à l’écoute pour d’autres mises à jour sur cette histoire en évolution à mesure que l’enquête se déroule.

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