
Accepter l’échec : les réflexions de Robert Herjavec, investisseur chez Shark Tank
Robert Herjavec, investisseur de renom de l’émission télévisée Shark Tank, met en lumière une perspective souvent négligée sur l’échec. Dans une publication LinkedIn stimulante du 23 août 2017, il explique que l’échec doit être considéré comme un tremplin précieux vers le développement personnel et professionnel, plutôt que comme un revers à craindre.
Une perspective précieuse sur l’échec
Selon Herjavec, reconnaître ses échecs et en tirer des leçons est essentiel à la réussite. Il a partagé avec franchise son propre parcours, reconnaissant avoir connu de nombreuses erreurs et revers tout au long de sa carrière. Cependant, il insiste sur le fait que la clé du développement réside dans l’apprentissage de ces expériences et l’évitement des erreurs.
« L’échec est une leçon qui devrait vous propulser vers le succès – et je suis certain que je ne serais pas là où j’en suis aujourd’hui sans lui. Je parle souvent de mon excellence en affaires, car j’ai commis toutes les erreurs possibles et imaginables. Mais jamais deux », a expliqué l’investisseur de Shark Tank.
Recadrer l’échec : apprentissage ou évitement
Dans son commentaire perspicace, Herjavec compare le terme « échec » à celui de « vente », soulignant que tous deux sont stigmatisés et peuvent dissuader les individus de poursuivre leurs objectifs. Il encourage un changement d’état d’esprit et encourage chacun à prendre des risques. En sortant de sa zone de confort, chacun peut découvrir son véritable potentiel de réussite.
Herjavec souligne que comprendre l’échec est essentiel pour mesurer ses réussites. Il est convaincu que chaque revers est porteur d’enseignements cruciaux qui rapprochent les individus de leurs objectifs.
« J’apprends à mon équipe à gérer son échec en deux étapes : 1 – Comprendre pourquoi on a échoué et ce qu’on a appris.2 – Surmonter l’échec ! » a ajouté la star de Shark Tank.
La double nature de l’échec
Herjavec note que repousser ses limites perçues mène souvent à l’échec. Cela peut être particulièrement vrai lorsque les individus sont surchargés ou trop concentrés sur l’objectif final sans réfléchir aux étapes nécessaires pour l’atteindre. Dans ces contextes, l’échec peut entraîner deux réactions : se replier sur soi-même ou élargir ses ambitions et ses capacités.
Tout en reconnaissant que toutes les entreprises ne sont pas forcément couronnées de succès, Herjavec assure que la victoire comme la défaite font partie intégrante du processus d’apprentissage. Des défis inattendus peuvent survenir sans prévenir, et il est essentiel de garder le cap.
« Alors, que se passe-t-il quand on ne réussit pas ? L’échec nous fait-il sombrer autant que le succès nous fait voler haut ? Pas vraiment. Et si c’est le cas, il faut comprendre pourquoi », a-t-il averti.
Transformer les revers en opportunités
Herjavec rejette l’idée selon laquelle chaque défaite diminue les accomplissements antérieurs. Il considère plutôt l’échec comme une opportunité de s’améliorer, ouvrant la voie à de futures victoires. Il prône une approche proactive, incitant chacun à tirer les leçons de ses échecs pour construire les bases de la réussite.
« Tout le monde échoue – on ne peut pas se permettre de s’y attarder. Tout ce qu’on peut faire, c’est identifier où et comment on a échoué, choisir la meilleure façon d’éviter de le répéter, puis passer à autre chose. Tous les échecs sont porteurs d’enseignements, alors qu’avez-vous appris du vôtre ? », a conclu la star de Shark Tank.
Découvrez plus d’informations sur Shark Tank
Pour ceux qui s’intéressent aux affaires et à l’entrepreneuriat, de nouveaux épisodes de la saison 16 de Shark Tank sont diffusés tous les vendredis sur ABC, où des investisseurs comme Robert Herjavec partagent des informations encore plus précieuses.
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