« The Childe » avec Kim Seon Ho reçoit des critiques élogieuses du grand public et des critiques.
« The Childe » réalise l’impossible en recevant un score total du public international et des critiques sur Rotten Tomatoes. Ce n’est pas seulement une grande victoire pour le cinéma coréen, mais aussi une douce récompense pour la star du film, Kim Seon Ho , après une série de scandales menaçant sa carrière.
Sur Rotten Tomatoes, « The Childe » maintient un record impressionnant de 100 % Tomatometer et 97 % d’audience. « The Glory » est le seul drame à recevoir un score total sur Rotten Tomatoes avant « The Childe ».
Newsen a écrit que le film de Park Hoon Jung (également connu sous le nom de « maître » des films sur le monde criminel) commence lentement mais monte progressivement d’un cran avec un développement d’histoire captivant, des scènes d’action palpitantes et un suspense ininterrompu. Houston Chronicle considérait le film comme un « enfant amoureux » de Quentin Tarantino « avec un peu d’aide de John Woo, du » Old Boy « de Park Chan Wook et de l’esprit d’Alfred Hitchcock ».
Le jeu d’acteur de Kim Seon Ho est également très apprécié parmi les acteurs. Il a fait un retour puissant dans l’industrie du divertissement avec un thriller noir et a frappé le grand écran, au lieu du petit écran. Il incarne l’homme mystérieux, connu sous le nom de Nobleman, qui poursuit sans relâche le personnage principal (joué par Kang Tae Joo). Il quitte temporairement son image innocente et charmante et prend un front plus sombre et plus fou avec une nature imprévisible.
Le film a suscité des réactions positives du public qui est d’accord avec les critiques sur la qualité et l’attrait du film, malgré sa « douceur » générale par rapport à d’autres productions plus sombres de Park Hoon Jung.
Selon KOFIC, « The Childe » reçoit un chiffre d’affaires global de 4,8 millions USD au box-office. Les médias coréens pensent que le film est un succès au box-office et peut entrer dans le top 10 malgré son genre de niche et sa restriction d’âge.
Source : KOFIC, Chronique de Houston
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