L’année dernière, j’ai décidé de regarder Smallville pour la première fois, et la série tient largement la route lorsqu’il s’agit d’explorer la transformation de Clark Kent (Tom Welling) en Superman. Cependant, une exception notable est l’épisode 2 de la saison 2, intitulé « Heat ». Le synopsis de l’épisode décrit une intrigue plutôt sensationnelle : « Une nouvelle enseignante séduisante (Krista Allen) utilise le pouvoir des phéromones pour convaincre Lex de faire sa demande en mariage ; pendant ce temps, Clark est aux prises avec une nouvelle capacité troublante. » Cet épisode marque le moment où Clark Kent découvre pour la première fois ses pouvoirs de vision thermique.
La représentation métaphorique de la vision thermique de Clark comme symbole de la puberté et de l’émergence de la sexualité est assez poignante, bien qu’un peu évidente. La capacité des scénaristes à transformer la notion fantastique de Superman tirant des lasers avec ses yeux en une expérience humaine relatable résume ce qui rend Smallville captivant. Bien que j’apprécie cet aspect de « Heat », mon plaisir général a été gêné par un récit particulier qui a nui à l’expérience de visionnage.
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