« Sick, Crazy S—- » : Trump conclut sa campagne avec une misogynie évidente envers les femmes dirigeantes

« Sick, Crazy S—- » : Trump conclut sa campagne avec une misogynie évidente envers les femmes dirigeantes

Les propos misogynes de Donald Trump pendant la campagne électorale

Tout au long de la campagne présidentielle de 2024, Donald Trump a souvent tenu des propos misogynes. Ce thème a culminé avec une insulte particulièrement déplaisante adressée à une femme politique lors d’un rassemblement, soulignant les inquiétudes persistantes concernant sa rhétorique à l’égard des femmes en politique.

Insultes visant Kamala Harris et Nancy Pelosi

Lors d’un meeting à Grand Rapids, dans le Michigan , Trump a lancé une série de critiques à l’encontre de la campagne de la vice-présidente Kamala Harris. Parmi ses accusations de fraude électorale contre les démocrates, il a qualifié Harris de « lunatique radicale de gauche ». Ce n’était pas la seule remarque offensante lors de son discours ; il a également visé l’ancienne présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi.

Insultes et justifications inachevées

Trump a décrit Pelosi comme une « corrompue » avant de se lancer dans l’une de ses affirmations les plus choquantes, déclarant : « C’est une bisexuelle diabolique, malade et folle », s’arrêtant délibérément avant de terminer le mot, déclarant : « Cela commence par ab, mais je ne le dirai pas. Je veux le dire. » Ce moment résume la nature incendiaire de sa rhétorique.

Alors que Trump a tenté de justifier l’utilisation de ce langage – en affirmant qu’il n’a pas l’habitude d’employer des mots grossiers – il a fait valoir que dans les cas impliquant des « mauvaises personnes », un langage grossier peut être nécessaire. Il a également pris pour cible le représentant Adam Schiff, qui a joué un rôle important dans l’enquête sur les liens de la campagne de Trump avec la Russie, ce qui a encore accru l’hostilité présente dans ses commentaires.

Hostilité continue envers les opposants politiques

Ce récent rassemblement n’est pas un incident isolé : Trump a l’habitude d’attaquer verbalement Nancy Pelosi. Il a déjà décrit Nancy Pelosi et Schiff comme « l’ennemi intérieur », renforçant ainsi sa position conflictuelle à l’égard de ces principaux opposants politiques. Nancy Pelosi a vivement critiqué Trump, notamment en louant les actes d’accusation portés contre lui et en le qualifiant d’« ennemi intérieur » après les événements du 6 janvier 2021.

Impact sur les femmes en politique et dans les médias

Le mépris de Trump ne s’arrête pas aux membres du Congrès. Il a déjà tenu des propos inquiétants à l’encontre de l’ancienne première dame Michelle Obama après qu’elle ait soutenu Harris, et ses partisans ont adressé des remarques misogynes à Harris, que l’ancien président a parfois cautionnées. En outre, Trump a encouragé la rhétorique violente contre les journalistes qui couvrent ses actions controversées.

L’avenir incertain des détracteurs de Trump

Les conséquences pour les détracteurs de Trump d’un éventuel renouvellement de mandat à la Maison Blanche restent incertaines. Son ancien chef de cabinet a laissé entendre qu’une approche vindicative pourrait être envisagée, ce qui suscite des inquiétudes quant aux conséquences potentielles pour ceux qui s’opposent à lui.

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