CETTE ex-membre d’un groupe de filles va être jugée pour de fausses allégations – détails à l’intérieur

CETTE ex-membre d’un groupe de filles va être jugée pour de fausses allégations – détails à l’intérieur

Un ancien journaliste devenu idole, connu sous le nom de X, a été traduit en justice pour avoir porté de fausses accusations contre le PDG d’une agence de divertissement, identifié comme Y.

Les accusations, qui ont provoqué une onde de choc dans l’industrie du divertissement, impliqueraient une tentative de viol.

La police abandonne les charges retenues contre Y dans une affaire de tentative de viol impliquant une ancienne star d’un groupe de filles

X, une femme d’une vingtaine d’années et ancienne membre d’un groupe de filles au milieu des années 2010, qui travaille désormais comme BJ, est accusée d’avoir faussement rapporté que Y avait tenté de la violer dans les bureaux de l’entreprise en janvier dernier.

Exemple de photo
(Photo : Donga)

L’affaire a pris un tournant important lorsque la police, après avoir initialement enquêté sur Y pour tentative de viol, a décidé de ne pas renvoyer l’affaire au parquet.

Cependant, X a déposé une objection, ce qui a incité le parquet à intervenir et à mener des enquêtes plus approfondies, comme le stipule la loi sur la procédure pénale.

Après un examen minutieux de toutes les preuves disponibles, y compris les images de vidéosurveillance, les conversations par messages mobiles et les transcriptions d’appels téléphoniques, l’accusation est arrivée à une conclusion surprenante : Y n’était pas coupable de tentative de viol.

L’enquête se tourne vers la fausse accusation de X : plaintes pour contestation du consentement mutuel et des images de vidéosurveillance

L’enquête s’est ensuite concentrée sur la prétendue fausse accusation de X.

Il a été révélé que le jour de l’incident, X et Y étaient entrés ensemble dans le bureau d’un commun accord mais avaient quitté la pièce sans se livrer à aucune activité sexuelle.

Exemple de photo
(Photo : Nat)

Contrairement aux affirmations de X, les images de vidéosurveillance la montraient simplement ouvrant la porte pour quitter le bureau, sans pousser Y comme elle l’avait prétendu.

Même après avoir quitté le bureau, il a été observé que les deux hommes étaient restés en contact physique en attendant un chauffeur de remplacement.

Malheureusement, X aurait interprété à tort ce conseil comme un avis de licenciement, ce qui l’aurait amenée à porter plainte contre Y auprès de la police en février.

Les répercussions des fausses accusations de X ont été graves, plusieurs chaînes de télévision ayant apparemment quitté l’agence, ce qui a entraîné des difficultés économiques et psychologiques pour Y.

Alors que X est désormais jugé pour de fausses allégations, l’affaire continue de soulever des questions quant à l’impact de telles accusations sur les individus et sur l’industrie dans son ensemble.

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