Un rapport viral affirme que Min Hee-jin a abandonné NJZ (NewJeans) pour affronter HYBE en solo

Un rapport viral affirme que Min Hee-jin a abandonné NJZ (NewJeans) pour affronter HYBE en solo

Min Hee-jin se retire du litige, NewJeans fait face seul aux défis

Le 25 mars 2025, le média sud-coréen MediaUs a publié un article révélant que Min Hee-jin, l’ancien PDG d’ADOR, avait quitté la bataille juridique qui l’opposait à HYBE plus tôt que prévu. Cette décision a permis aux membres de NewJeans de gérer leurs difficultés de manière autonome.

Le conflit, initialement centré sur Min Hee-jin et HYBE, a évolué vers une confrontation directe entre NewJeans et ADOR. Selon MediaUs, la situation s’est considérablement envenimée lors d’une diffusion en direct d’urgence sur YouTube, où des membres de NewJeans ont exprimé leur position dans la controverse. Le rapport précise :

« Le « de-Hive » de New Jeans a été déclenché par le conflit entre Min Hee-jin et Hive et constitue la sortie finale choisie par Min Hee-jin », a affirmé MediaUs (traduit par Google).

Depuis l’événement en direct, Min Hee-jin se serait retirée de la scène publique, permettant aux membres de NewJeans de prendre les devants dans la défense de leur position.

« Le moment où le combat entre Min Hee-jin et HYBE s’est transformé en ‘New Jeans vs. Adore’ était la diffusion en direct d’urgence de New Jeans mentionnée plus tôt », écrit MediaUs.

MediaUs a indiqué que l’absence de Min Hee-jin pourrait être liée à son licenciement du poste de PDG d’ADOR. MediaUs a souligné les complications potentielles liées à son maintien à la tête des activités de NewJeans, soulignant :

« Si Min Hee-jin, qui a été démis de ses fonctions de représentant d’Adore et est devenu un tiers, continue de diriger les actions de New Jeans comme auparavant, cela pourrait provoquer une controverse sur la « falsification » en contactant des chanteurs dont les contrats sont toujours valables, et cela serait désavantageux dans de futurs litiges juridiques.»

« C’est le contexte de New Jeans, qui a toujours été actif dans l’ombre de Min Hee-jin, et qui renaît soudainement en tant qu’« idole indépendante ».

Stratégie de NewJeans : l’opinion publique face aux batailles juridiques

Plutôt que de suivre une voie juridique traditionnelle, NewJeans semble privilégier l’engagement public comme stratégie pour façonner l’opinion et influencer l’issue de sa situation. Des moments clés, comme la diffusion en direct de l’alerte d’urgence, la participation de Hani à un audit d’État et une conférence de presse, ont tous contribué à cette approche.

Le conflit aurait été déclenché par des propos du manager d’ILLIT, qui ont déclenché un débat sur les droits des idoles, considérés par beaucoup comme essentiels dans l’industrie de la K-pop. Après un revers judiciaire, NewJeans a partagé son point de vue avec les médias internationaux, décrivant sa situation comme reflétant « la réalité coréenne » et « la noirceur de la K-pop ».Le terme « révolutionnaire », utilisé lors d’une interview accordée à TIME, est devenu un mème au sein des communautés en ligne, soulignant l’évolution du discours sur leur identité.

Min Hee-jin reconnue coupable de harcèlement au travail : des appels sont prévus

Par ailleurs, le même jour, Min Hee-jin a été reconnue coupable de harcèlement au travail par le ministère sud-coréen de l’Emploi et du Travail. Cette décision faisait suite à une plainte déposée par un ancien employé d’ADOR, connu sous le pseudonyme « B », qui l’accusait de harcèlement et de mauvaise gestion d’un cas signalé de harcèlement sexuel. Une enquête menée par le Bureau régional de l’Emploi et du Travail de Séoul a finalement abouti à ce verdict.

L’équipe juridique de Min Hee-jin a fermement contesté le verdict, invoquant des inexactitudes dans l’interprétation de ses déclarations et un manque d’objectivité dans l’enquête. Elle a annoncé son intention de faire appel de cette décision qu’elle qualifie d’injuste.

« Après avoir examiné la réponse concernant le traitement de l’affaire, il a été confirmé que les faits entourant les remarques qui ont été déterminées comme étant de l’intimidation au travail ont été incorrectement reconnus », a déclaré un représentant de son équipe juridique (via Legal Chosun).

Outre la contestation du jugement, son équipe juridique a critiqué la manière dont les médias ont présenté le verdict, affirmant qu’il ne devait pas être considéré comme définitif. Ils ont demandé aux journalistes de respecter les règles de confidentialité et ont averti que des poursuites judiciaires pourraient être engagées si des informations trompeuses persistaient.

Pour plus de détails et des mises à jour continues sur la situation, reportez-vous à l’article complet ici : Lire la suite.

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