Le concept de la Section 31 a longtemps intrigué les fans de la franchise Star Trek , notamment grâce à son introduction notable dans Star Trek : Deep Space Nine . Cette organisation clandestine opère discrètement pour éliminer les menaces potentielles pour la Fédération des Planètes Unies, s’engageant souvent dans des activités moralement douteuses pour maintenir la nature idyllique de la Terre. Avec la sortie prochaine du film Star Trek : Section 31 , les spectateurs peuvent s’attendre à une exploration plus approfondie de ce cadre obscur, en particulier de ses origines entre les époques de Star Trek : La Série Originale et Star Trek : La Nouvelle Génération . Cependant, les fans ont eu un premier aperçu de la Section 31 à travers le prisme du Docteur Julian Bashir (interprété par Alexander Siddig) dans DS9.
Docteur Bashir : l’agent idéal de la Section 31 dans Star Trek : DS9
Un mélange unique de compétences, d’intérêts et de relations
Le docteur Bashir possédait une combinaison de compétences exceptionnelles qui auraient pu faire de lui un agent hors pair au sein de la Section 31. Dès son plus jeune âge, ses parents ont choisi de l’améliorer génétiquement, lui conférant une intelligence et des réflexes surhumains. Tout au long de DS9 , ces améliorations sont évidentes puisqu’il s’impose comme l’un des principaux officiers médicaux de la Fédération, jouant un rôle essentiel sur la station spatiale. On ne peut s’empêcher d’imaginer comment ces attributs auraient pu être mis à profit dans les opérations secrètes de la Section 31.
De plus, l’enthousiasme de Bashir pour l’espionnage est indéniable. Ses déjeuners fréquents avec Garak (Andrew J. Robinson) mettent en évidence un plaisir mutuel pour les jeux psychologiques et la stratégie, ce qui met encore plus en valeur son inclination naturelle pour l’intrigue. Qu’il agisse comme canal de communication secrète ou qu’il se plonge dans des aventures immersives en holosuite en tant qu’espion classique du XXe siècle, Bashir entretient constamment l’idée de l’espionnage. Ses activités en dehors des heures de travail reflètent même un engagement ludique avec le genre de l’espionnage.
De plus, la capacité d’empathie de Bashir le distingue également des autres agents. Il fait preuve de compassion envers les Jem’Hadar malades, établissant habilement des liens avec ceux qui pourraient normalement être des adversaires. Son approche proactive de l’instauration de la confiance souligne sa valeur potentielle en tant qu’agent de la Section 31.
Enfin, l’un des plus grands atouts de Bashir réside dans ses capacités relationnelles. Ses amitiés avec des personnages comme le chef Miles O’Brien (Colm Meaney) et les lieutenants Jadzia Dax (Terry Farrell) et Ezri Dax (Nicole de Boer) témoignent de son charisme naturel. Cela lui permettrait de naviguer efficacement dans des scénarios sociaux complexes en tant qu’espion de la Section 31.
L’histoire inédite : Bashir et la Section 31 dans une potentielle saison 8
Extraits du documentaire « Ce que nous avons laissé derrière nous »
Malgré ses qualités remarquables, le docteur Bashir a finalement décliné l’invitation à s’affilier à la Section 31. Bien qu’il ait exprimé une fascination pour ses opérations, ses convictions fondamentales l’ont conduit à rejeter l’éthique de l’agence. Néanmoins, si Deep Space Nine avait continué pour une huitième saison, les scénaristes auraient imaginé Bashir sous un jour radicalement différent, en tant que chef potentiel de la Section 31.
Comme le révèle le documentaire What We Left Behind: Looking Back at Star Trek: Deep Space Nine , les créateurs de la série avaient discuté d’un arc narratif pour une huitième saison, imaginant qu’elle se déroulerait deux décennies après la série originale. Dans ce récit imaginé, le docteur Bashir assumerait le rôle d’un antagoniste, à la tête de la Section 31. Cette proposition souligne la reconnaissance par les scénaristes de l’aptitude indéniable de Bashir à l’espionnage et à la manipulation – un personnage conçu pour l’intrigue.
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